Le Travail, pourquoi ?

Voici un lien plus qu'intéressant sur la notion même du Travail. A lire, relire, diffuser, imprimer, propager...

http://kropot.free.fr/manifestevstrav.htm

I/ La domination du travail mort.
II/ La société d'apartheid néo-libérale.
III/ L'apartheid du néo-État social.
IV/ Aggravation et démenti de la religion du travail.
V/ Le travail, principe social coercitif.
VI/ Travail et capital : les deux faces de la même médaille.
VII/ Le travail, domination patriarcale.
VIII/ Le travail, activité des hommes asservis.
IX/ L'histoire sanglante de l'instauration du travail.
X/ Le mouvement ouvrier : un mouvement pour le travail.
XI/ La crise du travail.
XII/ La fin de la politique.
XIII/ La simulation de la société de travail
par le capitalisme de casino.
XIV/ Le travail ne se laisse pas redéfinir.
XV/ La crise de la lutte d'intérêts.
XVI/ Le dépassement du travail.
XVII/ Contre les partisans du travail :
un programme des abolitions.
XVIII/ La lutte contre le travail est une lutte antipolitique.






Un cadavre domine la société, le cadavre du travail. Toutes les puissances du monde se sont liguées pour défendre cette domination : le pape et la Banque mondiale, Tony Blair et Jörg Haider, les syndicats et les patrons, les écologistes d'Allemagne et les socialistes de France. Tous n'ont qu'un mot à la bouche : travail, travail, travail !

Qui n'a pas désappris à penser comprend sans difficulté le caractère insensé de cette attitude. Car ce n'est pas une crise passagère que connaît la société dominée par le travail : la société se heurte à sa limite absolue. Par suite de la révolution micro-informatique, la production de "richesse" s'est toujours davantage décrochée de la force de travail humaine - à une échelle que seule la science-fiction aurait pu concevoir voilà quelques décennies. Personne ne peut affirmer sérieusement que ce processus puisse encore être bloqué, voire inversé. Au XXIe siècle, la vente de la marchandise-force de travail est assurée d'avoir autant de succès qu'en a eu la vente de diligences au XXe siècle. Mais, dans cette société, celui qui ne peut pas vendre sa force de travail est "superflu" et se trouve jeté à la décharge sociale.

Arbeit

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"Choisis un métier qui te plait, et tu n'auras pas à travailler un seul jour de ta vie."


Confucius 551 à 479 avant J-C


ps : & eN PlUs.... ca fonCtiONNe

Partie 1



Partie 2: Conclusion très juste, tout comme le reste, dès 9 min 22.

Après celà vous auriez bien envie d'un petit travail de nuit, j'ai ce qu'il vous faut...



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"Le Travail, pourquoi ? "

Pour avoir une vie sociale... et bien être intégré dans la masse P Lion "Happy Children" Tsss...que neni, pas de çà chez nous

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Pourquoi mais pourquoi putain

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Métro, boulot, dodo quotidien...

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La fin du travail...

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Idéologie et force de travail

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Moi je rejoins "LE BOUNEUSSE" ... Une fois que t'as trouvé ta voie et que tu exerces un métier qui te passionne, c'est vraiment un plaisir ... Mais ça veut pas dire pour autant qu'il n'y a pas des matins où tu râles lorsque le réveil sonne et où tu traines à te lever ... Le plus dur pour moi c'est pas le boulot en soi, ce sont plutôt les horaires, ce serait tellement mieux de pouvoir bosser selon son propre rythme

Un retour à un rythme plus naturel...en hiver ce rythme devrait baisser en intensité, après-tout n'est-ce pas le cas chez les insectes sociaux sous nos latitudes (fourmis, abeilles etc...) c'est que celà bosse c'est petites bébêtes le reste du temps...

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On force l'homme à travailler à la chaîne comme une machine... à force il devient une machine complètement déshumanisée

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Morgen on reprends notre "train-train" quotidien pour pouvoir nous payer une jolie pierre tombale une fois à la retraite

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Etes vous bien sur d'être suffisamment outillés pour aller travailler

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Travail...Famille...Patrie !...ou mieux... La Liberté par le Travail.

LE BOUNEUSSE ... a écrit:

"Choisis un métier qui te plait, et tu n'auras pas à travailler un seul jour de ta vie."


Confucius 551 à 479 avant J-C


ps : & eN PlUs.... ca fonCtiONNe

Il faut différencier les différentes vies que l'on a tous les jours: Vie professionnelle, familiale, et personnelle. Parfois ces distinctions sont fortement marquées, parfois non, comme le fait d'aimer son boulot qui fait que, justement, cela ne devienne plus une torture (travail: Trepalium en latin, utilisé comme un instrument de torture), mais fasse au contraire partie de la vie personnelle et de ses "passions", ou tout du moins d'une activité comme une autre.

Certains considèrent également la vie de famille comme non pas quelque chose de naturel, mais comme une passion et se consacrent pleinement à l'épanouissement de leur enfants, époux(se), ces derniers passant avant tout autre activité.

Bref peut-on évoquer le travail comme une contrainte, et non pas comme une activité utile à la croissance et l'économie, sacro-sainte religion de notre monde actuel ?La question ne devrait même pas se poser. Beaucoup (la plupart d'entre nous?) bossent uniquement pour gagner des "pépettes" sans se préoccuper de savoir si cela a une quelconque utilité pour le monde qui l'entoure. Depuis longtemps le travail est chose obligatoire pour pouvoir gagner un tant soit peu d'argent pour nourrir sa famille, et basta. Il n'existe plus aucun partage ni échange intra-communautaire. Travailler en échange d'un autre service? Ne plus se baser sur l'argent mais sur un système qui se focalise uniquement sur l'être humain et sur l'utilité de chaque tâche, aussi minime soit-elle? On en est bien loin....

Pour postuler à un travail, ne négligez jamais l'importance de vos curriculum vitae

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et bien apprendre ses leçons !

shk-rrr a écrit:

et bien apprendre ses leçons !

A savoir suivre scrupuleusement le programme à la lettre...

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Mettez votre coeur à l'ouvrage...

Sigrun Heid - Im Werk

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Der Arbeiter - Son of the Widower

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Il est grand temps de signer un accord commun pour procurer du travail à qui le désire le plus simplement au monde...

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Aujourd'hui ce fut une journée bien tranquille au boulot, un vrai cimetière...

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